William Brock est un mari, un père, un brillant avocat, un photographe, un auteur et… un survivant de la leucémie. Le 17 février 2005, William a reçu une greffe de cellules souches qui lui a sauvé la vie : ses nouvelles cellules se sont épanouies, tout comme sa mission : financer la recherche vitale sur les cancers du sang et donner de l’espoir aux personnes en traitement.
Ses projets sont porteurs, et son lien avec la Société de leucémie et lymphome du Canada (SLLC) est profond. En 2012, William a lancé son livre intitulé Portraits d’espoir, un recueil inspirant réunissant les histoires de 47 survivants d’un cancer du sang. On y trouve des récits de personnes en traitement, de survivants du cancer, de sympathisants et d’alliés de la communauté des cancers du sang. En 2013, le soutien de William a contribué de façon importante à la création du guide Pas à pas, un livret de la SLLC produit au Québec dont le but est d’aider les patients à devenir des membres à part entière de leur équipe médicale. William est un pionnier de longue date des campagnes de la SLLC. Il a apporté un soutien actif à de nombreux événements Team in Training et à la Marche Illumine la nuit. En 2015, dans l’optique de faire avancer la recherche sur les cellules souches à Montréal, William a fondé la Chaire Maryse et William Brock pour la recherche appliquée en greffe de cellules souches.
En ce début de 2020, William s’est déjà engagé dans ce qui constitue peut-être sa plus grande aventure jusqu’ici : en juillet prochain, il dirigera une équipe et fera l’ascension du Kilimandjaro, la plus haute montagne isolée au monde! Son objectif : recueillir 1 million de dollars pour la recherche vitale sur les cancers du sang. Cette initiative est non seulement un témoignage de son leadership philanthropique, mais également une célébration de l’esprit de survie, en cette année qui marquera le 15e anniversaire de sa lutte fructueuse contre la leucémie.
En tant que survivant d’un cancer du sang, Brock est bien déterminé à vivre pleinement chaque moment de ce qu’il appelle sa « deuxième vie » et, surtout, à transmettre un héritage de bienfaisance. Selon lui, notre réussite à tous devrait se mesurer non seulement à ce que nous faisons, mais également au bien que nous semons.